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Nuage de mots clés

Photographie | Musique | Instruments de musique | Instruments à cordes | Instruments à vent | Instruments à cordes pincées | Cordes (instruments de musique) | Instruments à percussion | Bois (instruments de musique) | Brest (Finistère) | Fête de la musique | Cordes (musique) | Flûte | Cordes pincées (instruments de musique) | Cithare | Instrument à vent, Musique d' | Instruments de musique -- Chine | Percussions (instruments de musique) | Vents (instruments de musique) | Luth | ...
Joueur d'orgue de barbarie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ffcbb1-joueur-d-orgue-de-barbarie

Joueur d'orgue de barbarie

Joueur d'orgue de Barbarie à Dinant en Belgique. L'orgue de Barbarie est un instrument de musique mécanique à vent classé dans les orgues. Il fait partie des « automatophones », terme qui englobe tous les instruments destinés à produire de la musique par des procédés mécaniques.

Joueur de kendang indonésien lors d'un concert. Source : http://data.abuledu.org/URI/53514164-sambasunda-quintett-in-cologne-0203-jpg

Joueur de kendang indonésien lors d'un concert

Concert du groupe soundanais SambaSunda quintett de Java (Indonésie) à Cologne. Le kendang est un tambour à deux faces d'Indonésie, de Malaisie et du sud des Philippines. On dit que les bons kendang sont fait en bois de jacquier, en tronc de cocotier ou en cempedak (Artocarpus integer). Pour la partie inférieure, appelée bam, qui donne un son grave, on utilise de la peau de buffle, alors que pour la partie supérieure, appelée cang, qui donne un son aigu, on utilise de la peau de chèvre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Kendang

Kacapi indonésien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53342e73-kacapi

Kacapi indonésien

Le kacapi est un instrument de musique à cordes pincées du pays Sunda en Indonésie et existe aussi à java centre sous le nom de siter. C'est une petite cithare de 75 cm de long, en forme de bateau, taillé dans du bois monoxyle, avec une cavité dans le dos. Il a deux chevilles à friction. Le manche a cinq ou six frettes excavées et ciselées du bois massif. Le chevalet consiste en un reste du bois de la caisse de résonance, laissé sur la table d'harmonie qui possède plusieurs ouïes. Il est souvent très décoré et poli, rendant parfois impossible son jeu, n'étant alors qu'une pièce décorative. C'est un instrument joué avec un grand plectre, mais dont peu de musiciens subsistent. On en joue soit en solo soit en accompagnement.

Kiosque à musique métallique. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ffaaaa-kiosque-a-musique-metallique

Kiosque à musique métallique

Concert sous une structure métalique servant de pavillon. Restitution du son impressionnante, à Torrelavega en Espagne.

Koncovka slovaque. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c1de9-koncovka

Koncovka slovaque

La koncovka est une flûte harmonique slovaque, traditionnellement utilisée par les bergers. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Koncovka

Koto japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c617d-koto-japonais

Koto japonais

Le koto (箏 en japonais, ou 琴 en japonais classique) est un instrument de musique à cordes pincées utilisé en musique japonaise traditionnelle, notamment dans le kabuki et le bunraku. Originaire de Chine (gŭzhēng), il fut introduit au Japon entre le VIIe siècle et le VIIIe siècle et était joué principalement à la Cour impériale ; l'usage s'en est ensuite démocratisé. Le koto est une longue cithare (en forme de dragon tapi), mesurant environ 1,80 m de long et comptant 13 cordes. La caisse est traditionnellement fabriquée en bois de paulownia évidé, et les hauts chevalets amovibles, en ivoire. Ses cordes sont en fil de soie que l'on pince avec des grattoirs en ivoire. Le koto produit un son lyrique, comparable à celui d'une harpe, ce qui peut expliquer le terme souvent rencontré de « harpe japonaise ». Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Koto.

Koudi chinois. Source : http://data.abuledu.org/URI/53398304-koudi

Koudi chinois

Photo de koudi à côté d'un crayon, pour donner l'échelle. Le koudi est une minuscule flûte traversière en bambou chinoise dérivée du dizi. Elle a été inventée en 1971 par le maitre de dizi Yu Xunfa. Elle est faite d'un très court segment de bambou avec des trous de jeu de part et d'autre du trou d'insufflation. Une des plus célèbres compositions pour le koudi est YunQue. L'instrument est également utilisé dans les pièces d'orchestre chinoises telle que Fei Tian. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Koudi

Le flûtiste breton Dan Ar Braz à Quimper. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b44b28-le-flutiste-breton-dan-ar-braz-a-quimper

Le flûtiste breton Dan Ar Braz à Quimper

Le flûtiste Sylvain Barou, né en 1978, est un flûtiste breton, célèbre dans le domaine de la musique bretonne et de la musique irlandaise : Dan Ar Braz et le bagad Kemper en concert à l'espace Gradlon lors du festival de Cornouaille 2013, à l’occasion des 90 ans du Cornouaille et des 20 ans de la création de l’Héritage des Celtes, le 27 juillet 2013.

Les tambours du Bronx. Source : http://data.abuledu.org/URI/51db5aa1-les-tambours-du-bronx

Les tambours du Bronx

Bidons utilisés comme instruments de musique à percussion (idiophones) par le groupe des Tambours du Bronx, groupe de percussions urbaines français formé en 1987. Leurs concerts ont pris une identité, créant leur musique en frappant violemment sur des bidons, en suivant une scénographie précise. Leur musique est un mélange énergique d'indus, afrobeat, rock, techno et world music. Ils sont dix-huit musiciens sur scène, utilisant sons synthétiques et samples au service d'une rythmique très puissante. Ce subtil mélange en a fait une des références internationales en percussions expérimentales et en musique industrielle.

Mandoline Banjo turque. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c69cc-mandoline-banjo-turcque

Mandoline Banjo turque

Le cümbüş (djumbuch) est un instrument à cordes pincées turc. C'est un luth à manche long similaire au banjo inventé en 1930 par Zeynel Abidin Cümbüş et présenté à Atatürk par son inventeur, ancien forgeron reconverti dans la lutherie. Il est conçu pour pouvoir permettre en théorie d'adapter différents manches à une même caisse. Cümbüş : à douze cordes, manche court, sans frette, accordé comme le oud. On en joue avec un mediator ou mezrab. Il est essentiellement utilisé dans la musique turque populaire ou folklorique et surtout par les Tziganes, mais le banjo lui fait concurrence.

Mathématiques et musique. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f99218-mathematiques-et-musique

Mathématiques et musique

Cette image indique les harmoniques du do1 sur une portée, et précisent par les flèches et les chiffres (en cents) l’écart de hauteur entre chacun des 16 premiers harmoniques et la note la plus proche dans la gamme tempérée. Considérant que le demi-ton (du tempérament égal) fait 100 cents, la déviation de 49 cents de l'harmonique 11 est donc quasiment à mi-chemin entre deux notes existantes, c’est-à-dire un quart de ton.

Métronome . Source : http://data.abuledu.org/URI/50f0318c-metronome-

Métronome

Un métronome est un instrument donnant un signal audible ou visuel permettant d'indiquer un tempo, vitesse à laquelle doit être jouée une musique. Il est surtout utilisé dans l'étude d'une partition, la mise en place d'une interprétation ou la recherche du minutage (timing) d'une œuvre musicale.

Mi et clef de sol en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/534501b7-mi

Mi et clef de sol en solfège

En musique, une note désigne soit un symbole permettant de représenter la hauteur et la durée relative d'un son, soit la hauteur elle-même d'un son. Dans le solfège, la note de musique est littéralement "notée" sur une partition afin d'être lue par le musicien interprète. On lui attribue quatre caractéristiques principales : durée, hauteur, intensité et timbre. La note représente par sa forme une durée (dimension horizontale du solfège). De par sa position sur la portée, elle représente une hauteur (dimension verticale). Le mi est situé entre le ré et fa. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mi_%28note_de_musique%29

Morin khuur mongol. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330416d-morin-khuur

Morin khuur mongol

Le morin khuur est un instrument à cordes mongol. Le nom du morin khuur en mongol ancien est mongol et signifie « viole à tête de cheval ». Il produit un son qui est poétiquement décrit comme chaleureux et sans contrainte, tout comme le cheval mongol sauvage qui hennit, ou comme une brise dans les prairies. Il est l’instrument musical le plus important du peuple mongol, et est considéré comme un symbole de la nation mongole. Une légende sur l’origine du morin khuur est qu’un berger nommé Kuku Namjil reçu le don d’un poney magique ailé, qu’il montait la nuit pour voler et rejoindre sa bien-aimée. Une femme jalouse fit couper les ailes du cheval, de sorte qu’il tomba du ciel et mourut. Le berger, dans son deuil, utilisa les os de son défunt cheval pour faire un violon orné d’une tète de cheval, qu’il utilisa pour jouer des chansons émouvantes sur la vie de son cheval.

Murale en verre sur l'histoire de la musique. Source : http://data.abuledu.org/URI/597805e9-murale-en-verre-sur-l-histoire-de-la-musique

Murale en verre sur l'histoire de la musique

Murale en verre sur l'histoire de la musique, Frederick Back, station de métro Place-des-Arts (Montréal), 1967 : Murale en verre évoquant à l'histoire de la musique des débuts jusqu'à l'époque contemporaine. On y retrouve des musiciens déterminants comme Calixa Lavallée, Guillaume Couture, Alexis Contant et Emma Albani.

Musique et contes en tissu. Source : http://data.abuledu.org/URI/58284b88-musique-et-contes-en-tissu

Musique et contes en tissu

Instruments de musique pour accompagner la lecture des contes en tissu. Source : http://calestampar.org/spip.php?article1094.

Nagara indiennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331ae35-nagara

Nagara indiennes

Les nagara (monde arabe) ou tyanko (Népal) sont une paire de timbales indiennes rencontrée jusqu'au Tadjikistan. Le tasha en est une version sur trépied à une seule timbale, dont le tas iranien est sans doute l'origine, mais qui est joué avec des petits fouets. Parfois construites en terre cuite, les plus grandes, jusqu'à un mètre de diamètre, sont en cuivre, avec des peaux de chèvre liées à l'aide de cordes ou de lanières de cuir, tout autour. On en joue assis ou debout (avec une lanière), avec deux grosses et solides baguettes, les timbales étant soit côte à côte, soit l'une horizontale et l'autre verticale (les peaux perpendiculaires). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nagara_%28instrument%29

Nyckelharpa verticale suédoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53345232-nyckelharpa-vertical

Nyckelharpa verticale suédoise

La nyckelharpa est un instrument de musique traditionnel à cordes frottées d'origine suédoise, plus précisément de la région d'Uppland, au nord de Stockholm. Il appartient à la même famille que la vielle à roue et la vièle. Il existe depuis le Moyen Âge (les premières représentations de l'instrument datent du XVIe siècle) sous différentes formes et connaît aujourd'hui un regain d'intérêt depuis les années 1970 en Suède et ailleurs. La nyckelharpa moderne date des années 1940 et est le fruit des travaux d'Eric Sahlström, musicien et luthier novateur, qui a ainsi remis au goût du jour l'instrument tombant peu à peu dans l'oubli. Traditionnellement, l'instrument se tient horizontalement, soutenu par une bandoulière, posé sur la cuisse droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nyckelharpa

Ocarina. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f038c9-ocarina

Ocarina

L’ocarina est un instrument de musique à vent ovoïde, ressemblant à une tête d’oie ; d’où son nom : en italien, oca signifie « oie », et ocarina, « petite oie ». C’est un instrument traditionnel, en Afrique, il est conçu dans l’écorce de certains fruits, en terre cuite en Amérique et en porcelaine en Chine. Il aurait à peu près 12 000 ans d'existence.

Orchestre de jazz avant une représentation. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ff93b7-orchestre-de-jazz-avant-une-representation

Orchestre de jazz avant une représentation

Instruments de musique et sono d'un orchestre de jazz à Lincoln Hall, Chicago, Illinois le 16 Octobre, 2012.

Otsuzumi, tambour japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53315e15-otsuzumi

Otsuzumi, tambour japonais

L'Ōtsuzumi, aussi appelé ōkawa, est un tambour japonais en forme de sablier. Il s'agit d'une version plus grande du tsuzumi, ou kotsuzumi. Il est utilisé dans le théâtre japonais traditionnel et la musique folk. Son apparence et le son qu'il produit sont légèrement différents de ceux du tsuzumi. Alors que le tsuzumi est plus petit et a une peau de tambour plus ornée, l'ōtsuzumi est plus grand et sa tête prend un aspect cuir plus clair. Le son est également plus élevé et plus net en hauteur, ressemblant plus à un « pop » qu'au « pon » du tsuzumi. La structure en forme de sablier est légèrement plus grande et les têtes du tambour sont nouées très serré. L'ōtsuzumi se joue sur le côté du joueur, peut-être en raison de sa taille plus grande et de son poids plus lourd, alors que le tsuzumi se joue sur l'épaule. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C5%8Ctsuzumi

Plaques musicales de couleur - 0. Source : http://data.abuledu.org/URI/585fb514-plaques-musicales-de-couleur-0

Plaques musicales de couleur - 0

Téléphone à pied, concert ORGANic Evolution 2010.

Polyphon. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ff88ac-polyphon

Polyphon

Le polyphon est une boîte à musique à disque, dans laquelle le cylindre est remplacé par un disque métallique garni sur une face d'aspérités ou « projections » qui sont de fines lamelles de métal coupées par emboutissage sur la surface du disque et recourbées sur elles-mêmes sur l'autre face. Ces projections ne soulèveront pas directement les lames du clavier, mais accrochant une branche d'une roue étoilée, la feront tourner, et la branche suivante de l'étoile actionnera la lame fixée devant elle. Musée de la Technique et du Textile (Musée de Bielsko-Biała). SCHUTZ-MARKE. TRADE-MARK. Source : http://www.arts-et-metiers.net/pdf/DEFO-Polyphon.pdf

Roue à carillon en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bd79b5-roue-a-carillon-en-bretagne

Roue à carillon en Bretagne

Roue à carillon de l'église Notre Dame de Confort (Confort-Meilars, Finistère, Bretagne). Monument Historique de la base Palissy, mobilier PM29000555). D'un diamètre de 1,75 m, elle possède douze clochettes de notes différentes, du Do au Do supérieur. La roue à carillons — appelée aussi roue de guérison, roue de fortune ou roue de gloire — est un instrument de musique de percussion, de type idiophone, d'origine bretonne, généralement constitué d'une douzaine de cloches produisant autant de notes différentes.

Ruan chinois. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330462e-ruan-chinois

Ruan chinois

Le ruan chinois est un luth à manche long appelé aussi guitare-lune. C'est un instrument que l'on retrouve dans toute l'Asie du Sud-Est. La caisse de résonance est ronde et plate, percée en général de deux ouïes près du long manche qui se prolonge sur la table d'harmonie en bois. Il est prolongé par un grand chevillier courbe avec quatre grandes chevilles. Il y a quatre cordes en soie ou métal, fixées non au chevalet, mais au bas de la caisse. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ruan_%28instrument%29

Santouri grec. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c2a10-sandouri-grec

Santouri grec

Santouri grec datant de 1940-1960. Le santouri est un instrument de musique iranien, diffusé par tout le Moyen-Orient appartenant à la famille des cithares sur table. On en joue à l'aide de deux petits marteaux placés entre les doigts. Il est imposant par sa taille (100 cm × 60 cm × 10 cm avec angle à 70°) et par la disposition des cordes offrant six sections de jeu. La caisse de résonance est en érable, en hêtre ou en bois de rose laminé ; les côtés sont coupés en deux et recollés en inversant le fil du bois afin d'assurer une meilleure stabilité. La table d'harmonie en épicéa ou en sapin est percée de deux grosses ouïes hexagonales avec sept trous ronds (ou deux grosses rosaces rondes) placées au centre et à gauche de la série de chevalets médians. Il a environ 115 cordes (en acier, en bronze et en cuivre fileté) disposées en chœurs de 2, 3, 4 ou 5 sur cinq séries de chevalets (non amovibles, reliés par des sillets en métal) composés de barres de soutien creusées pour permettre leurs passages. L'accord est complexe et rend le jeu difficile du fait des croisements lors des changements de série de chevalets. Les chevilles filetées sont placées sur le dessus, à droite, à côté de la table d'harmonie, et non pas sur le côté de la caisse de résonance. Là aussi il faut des calibres de cordes différents pour assurer le rendu correct des harmoniques de l'échelle chromatique. Les mailloches sont imposantes (25 cm), lourdes, toujours entourées d'étoupe à l'extrémité, afin de feutrer le son, et jouées avec les poignets, bien que tenues penchées, entre deux ou trois doigts (autrefois on en jouait aussi avec les avant-bras, d'un peu plus loin, avec les baguettes tenues droites, dans lesquelles étaient creusés des trous pour les index). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Santour

Sarrussophone. Source : http://data.abuledu.org/URI/511270ee-sarrussophone

Sarrussophone

Les sarrussophones sont des instruments de musique de la famille des bois. Ils furent inventés durant la deuxième moitié du XIXe siècle par Pierre-Auguste Sarrus et construits par Pierre-Louis Gautrot, un peu après l'invention des saxophones.

Saung Birman. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316918-saung-birman

Saung Birman

La saung ou saung-gauk est une harpe traditionnelle birmane (Myanmar). Elle est très ancienne et remonte au VIIIe siècle, d'après des sculptures au temple de Baw-baw-gyi. Bien que jouée depuis, elle bénéficia néanmoins d'un nouvel élan au XVIIIe siècle grâce à Myawaddy Mingyi U Sa (1766-1853) qui adapta la musique siamoise et créa de la musique pour harpe pour accompagner le Ramayana tout en inventant un nouveau genre appelé yodaya. Le nombre de cordes serait alors passé de 7 à 13. C'est une grande harpe de Cour naviforme de 80cm de long sur 76 cm de haut. Elle fait partie des harpes arquées car sa caisse de résonance laquée et recouverte d'une peau de daim (percée de fines ouïes) est horizontale. Son arc est taillé dans une racine d'arbre qui se termine par une sculpture de feuille de l'arbre sacré bo (figuier). L'ensemble est incrusté de mica, perle, verre... Le support sur lequel elle repose est lui aussi très décoré, de même que le bout des 13 à 16 cordes en soie ou nylon. Le chevillier est à friction, mais il en existe des modernes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saung

Sheng asiatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53303f43-sheng-

Sheng asiatique

Le sheng est un instrument de musique à vent à anche libre. Orgue à bouche chinois, il date de 2000 avant JC puisqu'il est mentionné dans le Che-king (Livre des Odes ou de la Poésie). Le sheng a un réservoir en métal et entre 17 et 30 tuyaux en bois d'ébène ou en métal chromé, muni chacun d'un petit orifice à couvrir avec les doigts (comme une flûte) et une anche libre, permettant ainsi une polyphonie tant à l'inspiration qu'à l'expiration. On pense souvent que ce sont Johann Wilde et le Père Amiot (respectivement en 1740 et 1777) qui ont ramené les premiers shengs en Europe à la suite de leur voyage en Chine. C'est seulement au début du XIXe siècle que le sheng d'Amiot inspira l'invention de l'harmonium, de l'harmonica puis de l'accordéon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sheng

Skankaya à Brest pour la Fête de la musique 2016. Source : http://data.abuledu.org/URI/594b763c-skankaya-a-brest-pour-la-fete-de-la-musique-2016

Skankaya à Brest pour la Fête de la musique 2016

Skankaya sur scène pour la fête de la musique le 21 juin 2016 à Brest, en face du château.

Skankaya à Brest pour la Fête de la musique 2016. Source : http://data.abuledu.org/URI/594b76a5-skankaya-a-brest-pour-la-fete-de-la-musique-2016

Skankaya à Brest pour la Fête de la musique 2016

Skankaya sur scène pour la fête de la musique le 21 juin 2016 à Brest, en face du château.

Skankaya à Brest pour la Fête de la musique 2016. Source : http://data.abuledu.org/URI/594b76ea-skankaya-a-brest-pour-la-fete-de-la-musique-2016

Skankaya à Brest pour la Fête de la musique 2016

Skankaya sur scène pour la fête de la musique le 21 juin 2016 à Brest, en face du château.

Sousaphone. Source : http://data.abuledu.org/URI/511281dd-sousaphone

Sousaphone

Le soubassophone ou sousaphone (souvent abrégé en « sousa », «souba») est un instrument de musique de la famille des cuivres, apparenté au tuba-contrebasse. Les dénominations « soubassophone » et « sousaphone » désignent toutes deux le même instrument. Il est souvent confondu - à tort - avec l'hélicon.

Strakelin à Brest pour la Fête de la musique 2016. Source : http://data.abuledu.org/URI/594b7736-strakelin-a-brest-pour-la-fete-de-la-musique-2016

Strakelin à Brest pour la Fête de la musique 2016

Strakelin sur scène pour la fête de la musique le 21 juin 2016 à Brest, en face du château.

Strakelin à Brest pour la Fête de la musique 2016. Source : http://data.abuledu.org/URI/594b7790-strakelin-a-brest-pour-la-fete-de-la-musique-2016

Strakelin à Brest pour la Fête de la musique 2016

Strakelin sur scène pour la fête de la musique le 21 juin 2016 à Brest, en face du château.

Studio de compositeur de musique de film. Source : http://data.abuledu.org/URI/5882512e-studio-de-compositeur-de-musique-de-film

Studio de compositeur de musique de film

Studio de compositeur de musique de film, Cristo Socorro.

Stylophone. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347fdfb-stylophone

Stylophone

Le Dubreq Stylophone est un instrument de musique électronique miniature, créé en 1967 par Brian Jarvis. Il se compose d'un clavier métallique de 20 notes sur lequel on joue à l'aide d'un stylo relié à un fil électrique, ce qui ferme le circuit et produit la note. Le son produit est pauvre et l'appareil se rapproche davantage du gadget que de l'instrument de musique. Néanmoins, les artistes utilisant le stylophone ajoutent le plus souvent des effets sonores (grâce à des pédales multi-effets) pour enrichir le son et en faire un véritable synthétiseur. Durant sa vie éphémère, le stylophone fut un énorme succès commercial, avec trois millions d'exemplaires vendus, surtout en tant que jouet. On lui connaît quelques rares utilisations musicales, par des artistes comme Pulp, Kraftwerk, Erasure et David Bowie (dans le morceau Space Oddity). On peut noter sa réutilisation grâce à des artistes tels que Little Boots, Spirit of the matter, Dionysos (tournée acoustique 2009) ainsi que Charlie Winston lors de son concert au Point gamma 2009 de l'École polytechnique. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Modern_Stylophone.JPG

Surbahar indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53344a15-surbahar

Surbahar indien

Le surbahar (en ourdou سربہار; en hindi सुर बहार) est un instrument de musique du nord de l'Inde. Utilisé dans la musique hindoustanie, c'est un sitar basse en quelque sorte, rarement joué. Le surbahar est un vieil instrument dérivé de la vînâ et du tambûr. Il ressemble au sitar, mais est encore plus grand. Son manche est beaucoup plus large. Sa tête se termine par une sculpture de cygne ou de paon. Et sa caisse de résonance est une calebasse aplatie, et non sphérique. Les cordes sont plus grosses et le son plus grave. On en joue assis en tailleur par terre, exclusivement les râgas dans le style dhrupad, accompagné par le pakhâwaj. On se sert de deux mezrabs (à l'index et au majeur) qui vont et viennent alternativement sur les cordes (comme dans la basse). Vu le manche spécialement étudié, on peut tirer une corde afin d'infléchir une note non plus seulement sur une quinte, mais sur une octave entière. Cette opération demande toutefois de la pratique du fait de la résistance de la corde. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Surbahar

Taiko Japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53281fcd-taiko-japonais

Taiko Japonais

Taiko (太鼓) veut dire tambour en japonais, ce mot vient du chinois : 太鼓 ; pinyin : tàigǔ ; littéralement : « tambour le plus grand » mais ce mot est généralement utilisé en dehors de ce pays pour désigner les différentes formes de tambours. Les Japonais préfèrent utiliser le terme plus spécifique wadaiko (和太鼓, littéralement tambour japonais), associé depuis longtemps à l'histoire du Japon.

Tarogato hongrois. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4317-tarogato

Tarogato hongrois

Le tárogató, taragot ou torogoata (en français: taragote) est un instrument de musique à vent d'origine hongroise répandu en Ukraine et en Roumanie aussi. Le terme désigne deux instruments différents, tous deux d'origine hongroise : 1) du XVe siècle jusqu'au XVIIIe siècle environ, le tárogató — appelé aussi töröksíp, « flûte turque » — était un type de hautbois avec une anche double, une perce conique, et aucune clef. 2) dès 1890, c'est un bois à anche simple, inventé par le facteur d'instruments Vencel József Schunda. En raison de sa sonorité extrêmement forte et rauque, l'ancien tárogató a été employé comme instrument de signalisation pendant les batailles et les soulèvements nationaux (comme le bugle et la cornemuse). Le tárogató moderne est accordé en Si bémol. Son étendue chromatique est de plus de 2 octaves. Son doigté est proche de celui du saxophone. La forme de sa perce fait que le tárogató est un instrument octaviant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A1rogat%C3%B3.

Tiple colombien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5334416e-tiple-colombien

Tiple colombien

Le tiple (terme signifiant "soprano" en espagnol) est une petite guitare qu'on trouve dans toute l'Amérique latine, sachant que les versions des Caraïbes (Porto Rico, République dominicaine, etc.) diffèrent beaucoup de celles du continent (Colombie, Pérou, Venezuela). Il dérive sans doute de l'ancien timple des îles Canaries, lui-même hérité des colons espagnols. Il ressemble de loin à une petite guitare ancienne, à la caisse de résonance très resserrée et très ornementée. Il est monté de trois à six cordes en métal. Il a un accordage aux intervalles similaires à ceux de la guitare et est de ce fait propice à la formation d’accords et à l’accompagnement tant des services religieux que des danses de salon, dans des orchestres composés aussi de cuatro (instrument) et de bordunua. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiple

Tuba. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec4c6b-tuba

Tuba

Le tuba est un instrument de musique appartenant à la famille des cuivres. Par la variété de ses tailles et formes différentes, il constitue une sous-famille1 des cuivres. Le mot « tuba » provient du latin et désignait à l'époque romaine une grande trompette incurvée (tuba curva) utilisée dans le contexte militaire.

Tutek d'Azerbaïdjan. Source : http://data.abuledu.org/URI/53394337-tutek-d-azerbaidjan

Tutek d'Azerbaïdjan

Tutek, instrument de musique à vent d'Azerbaïdjan, Exposition "Azerbaïdjan" au musée de Cognac en novembre 2012.

Vibraphone. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f01160-vibraphone

Vibraphone

Le vibraphone est un instrument de musique, de la famille des instruments de percussion et plus précisément de la branche claviers. Il a été inventé en 1916 par Hermannn Winterhoff, s'inspirant du marimba mexicain, autre instrument de percussion à clavier proche du xylophone, du balafon africain et des orchestres de Gamelan de Java (appelé aussi métallophone). Si le premier vibraphoniste de talent fut le jazzman Lionel Hampton, il a vite trouvé sa place dans le jazz, mais aussi dans la musique classique du XXe siècle grâce à des compositeurs comme Edgard Varèse, Pierre Boulez ou Steve Reich. Le vibraphone a, au fil des années, été utilisé dans des styles musicaux très différents, même s'il ne joue véritablement un rôle central que dans certaines formations de jazz.

Virginal anglais de 1641. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343a9a-virginal

Virginal anglais de 1641

Virginal de Gabriel Townsend, Londres 1641 (Bruxelles, Musée des Instruments de Musique). La décoration est très recherchée : des moulures rapportées ou taillées dans la masse structurent le décor de la caisse en y délimitant des panneaux rectangulaires, octogonaux ... La partie frontale, la boîte à clavier et l'alentour de la table d'harmonie sont ornées de papier gaufré et doré ; l'intérieur du couvercle et celui du portillon reçoivent une décoration peinte figurant un parc à l'anglaise (St James' Park). La table d'harmonie est peinte à la façon flamande (avec fleurs et oiseaux) ; les rosaces (de une à quatre) sont en bois ou parchemin doré, avec motifs géométriques, entourées de couronnes florales peintes très travaillées. Le nom du facteur et la date, parfois le lieu, sont inscrits à l'avant du chapiteau. "Virginal" (mot venant peut-être du bas latin Virga, vergette), était employé en Angleterre pour désigner le clavecin. À partir de 1650 les termes harpsichord et spinet ont été préférés. Le virginal est un instrument de musique à « vergettes » (sautereaux), de la famille des instruments à clavier et à cordes pincées qui comprend également le clavecin et l'épinette. L'apparition la plus ancienne du terme se situerait en 1460 dans le "Tractatus de Musica" de Paulus Paulinirus. Sa forme est celle d'un coffre, avec un clavier rentrant dans une niche appelée boîte à clavier. La disposition clavier/plan de cordage du virginal flamand est d'origine italienne. Il n'a qu'un seul clavier. L'unique rang de cordes chromatiques permet de disposer les cordes, en travers de la touche du clavier (angle de 10 degrés) plutôt que dans le prolongement de la touche comme dans le clavecin — c'est également le cas des épinettes à l'italienne, dont les cordes sont en biais. Il y a une corde par note, les cordes consécutives sont rassemblées par deux. Il y a une corde à gauche et une à droite dans la travée recevant deux sautereaux alternés. C'est la travée double. Par exemple Mi bémol à gauche et Mi à droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_clavecin

Xylophone. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f01496-xylophone

Xylophone

Le xylophone (des racines grecques xylo : bois et phon : son) est un instrument de musique à percussion, de la famille des idiophones (classe des lamellophones). Le xylophone est constitué de lames de bois ou de métal de différentes longueurs extensibles qui sont frappées au moyen de mailloches terminées par une sphère parfois recouverte de caoutchouc ou de feutre. L'accordage des lames se fait différemment suivant les époques et les lieux surtout. La disposition des lames est, le plus fréquemment, semblable à celle du clavier de piano.

Zourna d'Azerbaïdjan. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347e5c1-zourna-azerbaidjan

Zourna d'Azerbaïdjan

Zourna, instrument de musique à vent d'Azerbaïdjan (Exposition Azerbaïdjan musée de Cognac novembre 2012). Elle est fabriquée en bois de mûrier, de buis ou d'abricotier ; elle se joue debout, souvent avec la technique du souffle continu. Elle a un registre d'une octave et demie, et l'accord est diatonique ; la justesse du jeu, d’autant plus problématique que la musique orientale utilise des quarts de ton, dépend beaucoup de la compétence du musicien. Celui-ci doit adapter constamment la hauteur des sons en faisant varier la pression du souffle et des lèvres sur les anches. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Azerbaijani_folk_instrument_Zurna.JPG

Zurna anatolienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/53395baa-zurna

Zurna anatolienne

La zurna est un instrument à vent à anche double de la grande famille des hautbois dont les origines sont anatoliennes. Elle tire son nom du persan زورنه (zur : fête, corne ou force et ney : roseau). Elle est fabriquée en bois de mûrier, de buis ou d'abricotier. La perce est cylindrique pour la partie supérieure, conique pour le pavillon et rappelle son ancêtre, la corne. Elle a huit trous (dont un pour le pouce et un d'accord). Un petit tuyau de bois fendu est inséré dans le conduit principal afin de guider l'air et afin d'en obturer certains trous éventuellement. L’anche double amovible en roseau plié est fixée à un support de métal, qui lui-même est fixé sur une rondelle protectrice en bronze. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Zurna